
© GSK
Le groupe britannique a souffert de volumes réduits par la pandémie de Covid-19. En 2021, GSK continuera à préparer la séparation de son activité en deux entités indépendantes, une division qui devrait être entérinée en 2022.
C’est une année de transition maussade pour GSK. En 2020, le laboratoire britannique a signé un chiffre d’affaires stable à 34 milliards de livres (38,6 Mrds €) contre 33,8 Mrds £ en 2019.
Une stabilité qui masque d’importantes disparités entre ses différents segments. Son activité Pharmaceuticals a ainsi souffert, en repli de 3 % à 17 Mrds £, marquée notamment par le déclin des médicaments contre le VIH, Tivicay et Triumeq.
Les bonnes performances du segment des maladies respiratoires et l'arrivée de nouveaux produits ont permis de compenser en partie le repli des médicaments déjà établis.
Sur le segment des vaccins, point fort historique du laboratoire, la pandémie a affecté une partie de l’activité de GSK, une tendance baissière accentuée par les cessions du Rabipur et de l'Encepur à Bavarian Nordic, fin 2019. La baisse de 2 %, à 7 Mrds £ de ventes sur ce segment, est pondérée par les ventes solides de Shingrix contre le zona et l’augmentation des ventes pour ses vaccins contre la grippe traditionnelle.
Des ventes en Santé grand public portées par[…]
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