Suite à une étude
réalisée pour le compte de Hoechst (Chimie hebdo n° 36,
p.28), les
salariés de Compiègne (Oise) craignent que leur site ne soit sur la
sellette. Ce site qui fabrique des formes solides (gélules et
comprimés notamment) et emploie 650 personnes serait l'un des
quatre sites susceptibles d'être fermés ou vendus dans le cadre de
la fusion Hoechst/Rhône-Poulenc. Les trois autres, implantés à
L'Aigle (Orne), Bourgoin-Jallieu (Isère) et Osny (Val d'Oise)
comptent entre 200 et 250 salariés. Rappelons qu'une manifestation
regroupant des salariés de Rhône-Poulenc et HMR - dont de nombreux
employés du siège de Romainville, également concerné par une
éventuelle fermeture- ont manifesté le 18 février à
Paris.
Social/Inquiétude au site HMR de Compiègne
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