L'avenir du
Laboratoire français de fractionnement et des biotechnologies
(LFB), confronté à une forte concurrence internationale, impose
un "changement de statut juridique pour favoriser les
partenariats avec d'autres établissements pharmaceutiques",
selon le
ministère de la Santé. Le Gouvernement envisage de transformer le
LFB "en
établissement public ou en société publique qui conserverait ses
missions actuelles". Le LFB a été créé en
mai 1994, après le scandale du sang contaminé. Il a repris les
activités des sept centres de fractionnements de plasma (albumine,
produits coagulants) en ne conservant que les centres des Ulis et
de Lille.
Politique de la santé/L'avenir du LFB passe par un changement de statut
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